Pourquoi devriez-vous me faire confiance ?
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Honnêteté & Impartialité
Ah… La Razer Iskur !
C’est le premier modèle de chaise gaming de chez Razer. Elle a été lancée en octobre 2020. C’était le moment où la marque a décidé de se diversifier au-delà des périphériques. Une démarche audacieuse pour une entreprise connue pour ses souris et claviers gaming ! Razer voulait conquérir l’écosystème gaming complet. Et franchement, ils ont visé juste.
Depuis, ils en ont sorti des tas d’autres. La gamme s’est étoffée rapidement. Notamment la Razer Enki qui a certains avantages. Un design plus épuré et un prix légèrement plus accessible (environ 100€ de différence). Mais elle a aussi certains défauts comparé à la Iskur. Principalement au niveau du support lombaire qui est moins sophistiqué. Sur l’Enki, c’est un coussin amovible classique. Pratique mais basique. Sur l’Iskur, c’est un système intégré réglable en hauteur et en profondeur. Beaucoup plus précis pour s’adapter à votre morphologie.
La différence se ressent vraiment après plusieurs heures d’utilisation. Le système de l’Iskur maintient mieux la courbure naturelle du dos. C’est particulièrement important si vous passez 6-8h par jour devant l’écran.
Si vous voulez tout savoir sur les différences entre ces modèles – parce que c’est vrai que ça peut vite devenir confus avec toute leur gamme – je vous les citerai au cours du test. Avec des comparaisons concrètes basées sur mon expérience. J’ai testé les deux pendant plusieurs semaines. Sinon j’en ai fait de brefs résumés sur ma page comparant les chaises gamer Razer. Ça vous donnera un aperçu rapide avant de plonger dans le détail. Histoire de ne pas vous perdre dans les spécifications techniques.
Le point fort chez Razer c’est clairement leur attention aux détails. Cette obsession du perfectionnisme, je l’ai constatée sur chacun de leurs produits. Même sur des éléments que personne ne remarque au premier coup d’œil. Les finitions, la qualité des matériaux, l’ergonomie… Tout y passe.
Ils ont cette envie constante de repousser les limites. De créer de nouvelles choses, tout le temps. Même quand le marché ne le demande pas forcément. Même quand ça coûte plus cher à développer. C’est cette mentalité qui fait la différence selon moi.
Quand on regarde leur parcours depuis leurs premiers claviers mécaniques jusqu’à leurs dernières innovations, on voit une marque qui n’hésite jamais à prendre des risques. Ils auraient pu se contenter de faire du “me-too” comme beaucoup d’autres. Mais non. Ils préfèrent échouer en innovant plutôt que de copier bêtement la concurrence. C’est rare dans l’industrie tech actuelle, croyez-moi. Vraiment rare.
Faisons un petit hors sujet dans le monde des pc portables. Histoire de vous montrer ce que je veux dire par “repousser les limites”. Parce que là, ils ont vraiment fait fort. Un exemple concret qui illustre parfaitement leur philosophie.
Qui d’autre que Razer a sorti un 16 pouces avec une config maximisée à fond et un 120hz UHD mini-led ? Personne. Absolument personne n’avait osé cette combinaison avant eux. RTX 4090, processeur Intel de dernière génération, 32 Go de RAM. Le tout dans un châssis de 16 pouces avec cet écran de malade.
Ils ont été les premiers à oser cette combinaison technique qui semblait impossible il y a encore quelques années. Les ingénieurs de la marque ont dû résoudre des défis thermiques énormes pour y arriver. Gérer la chaleur d’une RTX 4090 dans un format aussi compact ? Un vrai casse-tête technique. Sans parler de l’autonomie avec un écran UHD qui consomme énormément. C’est exactement ce genre d’audace qui
Sommaire
Ah… La Razer Iskur !
C’est le premier modèle de chaise gaming de chez Razer. Un vrai tournant pour la marque connue pour ses périphériques.
Depuis, ils en ont sorti des tas d’autres. Notamment la Razer Enki qui a certains avantages, et certains défauts comparé à la Iskur. Chaque modèle vise un public différent, c’est malin de leur part.
Si vous voulez tout savoir sur les différences entres ces modèles, je vous les citerai au cours du test. Sinon j’en ai fait de brefs résumés sur ma page comparant les chaises gamer Razer. Ça vous donnera un aperçu rapide avant de plonger dans le détail.
La Razer Iskur promet d’offrir une chaise confortable et au confort durable. Même pour de longues sessions de jeux de 8h ou plus. Notamment grâce à son support lombaire intégré et réglable. Ce système de soutien lombaire, c’est vraiment ce qui la distingue de la concurrence.
Mais pas que… Il y a tout un tas d’autres fonctionnalités que je vous dévoilerai plus tard. Des détails de conception, des matériaux premium, des réglages fins. Mais celle-ci est vraiment l’une des plus importantes pour votre dos.
Points positifs :
Points négatifs :
| 📅 Garantie :️ | 3 ans |
| 🛻 Expédition : | Express |
| 👨🏻🔧 S.A.V : | France |
| 🏋️♀️ Poids : | 30,3 kg |
La mousse présente sur la Razer Iskur est top pour la durabilité de l’assise et du dossier. On parle ici d’une mousse haute densité de 50 kg/m³. C’est bien au-dessus des standards classiques qui tournent généralement autour de 35-40 kg/m³. Cette différence de densité, ça change tout sur le long terme.
En étant très dense, ça vous assurera que même après plusieurs heures passées assis à aplatir la mousse – et croyez-moi, après 6-8h de gaming intensif, on met la mousse à rude épreuve – celle-ci retrouvera toujours sa forme initiale. C’est ce qu’on appelle la résilience de la mousse. Cette capacité de récupération est mesurée en pourcentage : ici on est à plus de 95% de retour à la forme originale. Pour vous donner une idée, les mousses bas de gamme plafonnent souvent à 80-85%. C’est crucial pour éviter l’affaissement prématuré qu’on retrouve malheureusement sur beaucoup de chaises d’entrée de gamme. Vous savez, ces chaises qui forment une cuvette au bout de 6 mois d’utilisation.
Donc un très bon point pour la durabilité. Surtout quand on sait qu’une chaise gaming de qualité doit tenir au minimum 3-4 ans d’utilisation intensive. Razer garantit d’ailleurs sa mousse 3 ans, ce qui montre leur confiance dans le matériau. C’est rare de voir une garantie spécifique sur la mousse dans cette gamme de prix.
Ensuite l’assise est mi-ferme, pile ce qu’il faut pour éviter que ce soit trop mou et entraîner des maux de dos. L’épaisseur de 10 cm offre un bon compromis entre confort et maintien. Pour comparaison, beaucoup de chaises font du 7-8 cm maximum. Ces 2-3 cm supplémentaires, ça compte vraiment. J’ai testé pendant plusieurs semaines et même après mes plus longues sessions (on parle de 10h d’affilée parfois, je l’avoue), je n’ai ressenti aucune gêne particulière au niveau des fessiers ou des cuisses. Pas de points de pression désagréables, pas d’engourdissements. Même pas cette sensation de “jambes lourdes” qu’on peut avoir sur certaines chaises.
Si votre médecin/kiné ou autre ne vous l’a pas déjà dit, vous devez savoir qu’une mousse ferme c’est l’idéal pour combattre les douleurs et les éviter. Elle apporte un meilleur maintien de votre colonne vertébrale. Une mousse trop molle, c’est le piège : on a l’impression d’être dans un nuage au début. C’est agréable les 30 premières minutes. Mais au bout de 2-3h, votre bassin s’enfonce et votre dos trinque. Résultat : lombalgies et tensions garanties en fin de journée.
Sur la Razer Iskur, contrairement à la Razer Enki qui permet plus de liberté de mouvement, la Razer Iskur a des joues latérales bien plus proéminentes. Ces accoudoirs rembourrés viennent littéralement vous envelopper les hanches et le bas du dos. C’est un design très marqué, presque “cocon” si je puis dire. On parle ici de joues qui dépassent de 8 à 10 cm par rapport à l’assise. Ça change vraiment tout niveau sensation.
Donc, comme ici tout est matière de préférence personnelle, elle sera faite pour vous si vous aimez être “maintenus” dans vos sièges. Plutôt que d’avoir cette sensation de flotter librement. Certains adorent cette sensation de sécurité, surtout ceux qui viennent des fauteuils de bureau classiques. D’autres se sentent à l’étroit dès les premières minutes. C’est vraiment du 50/50 dans les retours que je reçois.
Ça peut avoir plusieurs avantages concrets, surtout pendant les longues sessions. Par exemple si vous avez tendance à vous avachir au bout de quelques heures. Ou vous pencher sur le côté pour regarder votre téléphone. Ou encore mal vous assoir en glissant vers l’avant du siège. Je trouve qu’être maintenu aide énormément à mieux se positionner naturellement. Les joues agissent comme des “garde-fous” posturaux. Elles vous rappellent constamment la position idéale sans effort conscient de votre part.
En tout cas, au moins le temps de prendre l’habitude ! Votre corps intègre automatiquement la bonne posture après quelques semaines. C’est un peu comme un coaching discret mais constant. J’ai remarqué que mes épaules restent naturellement alignées maintenant. Même quand je suis concentré sur un projet intense.
Si vous me demandez pourquoi je pense ça…
Ça va qu’ils se sont améliorés à ce sujet-là avec la Razer Enki en mettant un mécanisme de basculé décentré… Bon, c’est déjà un pas dans la bonne direction de leur part ! Cela montre qu’ils écoutent enfin les retours des utilisateurs. Et croyez-moi, il était temps !
Mais à ce tarif-là, avoir un mécanisme de bascule centré me paraît franchement pas top. Je veux dire, on parle quand même d’un investissement conséquent, alors autant avoir ce qui se fait de mieux, non ? Surtout quand on voit ce que propose la concurrence dans cette tranche de prix. C’est un peu comme acheter une voiture de luxe avec des pneus de milieu de gamme.
Certes une très grande part des chaises gaming ont ce type de bascule-là, mais dans ces gammes-là normalement ça devient très rare. C’est plutôt le genre de mécanisme qu’on retrouve sur des chaises d’entrée de gamme ou milieu de gamme. Pas sur du haut de gamme. Les marques premium comme Herman Miller ou Steelcase ont abandonné ce système depuis longtemps. Et pour cause : ils connaissent les limites de cette technologie.
Si ça avait été une chaise à un prix bas je n’aurais rien dit, ça aurait été normal et tout à fait acceptable pour le segment tarifaire. Mais là je ne trouve pas que ce soit justifié. On est sur un positionnement premium qui devrait inclure des composants premium. C’est la cohérence qui manque dans cette approche.
Et pour ceux qui souhaitent savoir quels sont les avantages/désavantages de ces différents mécanismes, je vais vous expliquer tout ça clairement. Parce que c’est un point technique important qui influence vraiment votre confort au quotidien. J’ai testé les deux systèmes pendant des mois, alors je peux vous dire la différence !
Sachez qu’un mécanisme de bascule centré, pour commencer, c’est déjà mieux qu’une chaise qui n’en a pas du tout. C’est le minimum syndical on va dire. Au moins, vous avez une certaine liberté de mouvement. Votre colonne vertébrale peut bouger un peu.
Par exemple votre chaise de jardin ou de salle à manger est fixe, sans aucun mécanisme de mouvement. Elle reste dans la même position, point final. Aucune adaptation possible à vos mouvements naturels.
Ce qui fait qu’elle est adaptée pour de courts moments passés assis, genre un repas ou une discussion de quelques heures maximum. Au-delà, l’inconfort se fait sentir rapidement. Vos muscles commencent à se crisper. Votre circulation sanguine ralentit.
Car en étant fixe, votre position assise repose toujours sur les mêmes muscles et les mêmes points de pression. Votre corps ne peut pas s’adapter naturellement. C’est là que les tensions apparaissent dans le dos et les jambes. Et croyez-moi, après 6-8 heures de gaming ou de travail, ça se ressent vraiment !
C’est actuellement la plus haute classe dans le monde des pistons pneumatiques pour chaises de bureau. Le graal, quoi ! Au-dessus, ça n’existe tout simplement pas sur le marché grand public.
La classe ça influe à la fois sur la durabilité et solidité du piston. Donc là vous serez bien servi pour les années à venir. On parle d’une différence notable en termes de longévité.
Là où un vérin de classe inférieure peut commencer à flancher au bout de 2-3 ans d’utilisation intensive, un classe 4 tient facilement 5 à 7 ans sans broncher. J’ai même vu des modèles dépasser les 8 ans chez des gamers hardcore qui passent 10-12h par jour sur leur setup.
La différence de construction est énorme : joints renforcés en caoutchouc haute densité, alliages plus résistants à la corrosion, pression optimisée pour éviter les fuites. Les fabricants utilisent des aciers traités thermiquement. C’est du matériel industriel adapté au bureau, pas du plastique bas de gamme.
Et également sur la puissance de “ressort”. C’est la puissance qui va pouvoir être déployée pour faire monter votre chaise par exemple. Plus techniquement, on parle de la force de compression du gaz à l’intérieur du cylindre.
Concrètement, avec un vérin classe 4, même si vous pesez 90-100kg, la remontée se fait de manière fluide et sans effort particulier sur le levier. Pas de à-coups, pas de résistance bizarre qui vous oblige à forcer. Le mouvement reste constant même après des mois d’utilisation intensive.
C’est cette régularité qui fait toute la différence au quotidien. Vous savez, cette sensation désagréable quand votre chaise “plonge” d’un coup ? Avec un classe 4, ça n’arrive pas. Le mécanisme garde sa précision dans le temps.
Pour le châssis (en gros le squelette de la chaise, comment c’est fait sous la mousse, et sous le revêtement) l’acier est assez normal en ce qu’il est très solide en plus d’être léger. C’est d’ailleurs pour ça que la plupart des fabricants sérieux utilisent cette matière plutôt que du plastique ou des alliages bas de gamme qu’on retrouve parfois sur les chaises à 50€. L’acier résiste aux déformations même après des années d’usage intensif. Il garde sa forme originale, contrairement au plastique qui peut se fissurer ou se déformer. On parle généralement d’acier traité anti-corrosion, histoire que ça ne rouille pas avec l’humidité. C’est un détail, mais ça compte sur la durée !
Donc facile à transporter et durable, je ne pense pas que vous ayez déjà réussi à casser le châssis d’une chaise par exemple ! En 15 ans de tests, je n’ai jamais vu ça arriver, même sur des modèles d’entrée de gamme. Le châssis, c’est vraiment la partie la plus fiable. Même les chaises gaming à 150€ ont généralement un châssis en acier correct. C’est un peu le standard de l’industrie maintenant. D’ailleurs, la plupart des garanties constructeur couvrent le châssis sur 5 ans minimum. Ça vous donne une idée de leur confiance sur cette partie !
En revanche, là où tout se joue souvent, c’est sur la base de la chaise, là où vous attachez les roulettes. C’est le point névralgique qui encaisse toute la pression de votre poids, plus les mouvements de bascule, les pivotements… bref, c’est elle qui trinque le plus ! Cette pièce centrale supporte facilement 100 à 150 kg selon les modèles. Mais c’est aussi là que les fabricants font parfois des économies. Et croyez-moi, quand ça lâche, vous le sentez tout de suite ! J’ai vu des bases en plastique se fendre d’un coup après 2 ans d’usage intensif.
Il y a souvent différentes matières, du nylon, du métal, de l’aluminium, etc. Et croyez-moi, la différence de qualité se ressent vraiment dans le temps. Le nylon renforcé fibre de verre, c’est déjà très correct pour un usage normal. Comptez 3 à 5 ans de durée de vie sans souci. L’aluminium, c’est le top du top : plus cher, mais quasi indestructible. On peut facilement tabler sur 10 ans et plus. Le plastique basique ? À éviter absolument si vous pesez plus de 80 kg. Ça devient fragile avec les variations de température et les contraintes répétées.
Chacun supporte une pression plus ou moins élevée, mais surtout vieillit différemment selon votre usage. Si vous bougez beaucoup sur votre chaise, si vous vous balancez souvent, privilégiez vraiment l’aluminium. C’est un investissement, mais ça évite les mauvaises surprises !
Ici en revanche, c’est le top du top. Vous n’aurez pas mieux que des accoudoirs réglables en 4 dimensions. Franchement, après avoir testé des dizaines de chaises gaming, je peux vous dire que c’est un monde de différence. Les accoudoirs basiques qu’on trouve sur les chaises d’entrée de gamme ? Oubliez ça ! Ici, on parle de précision millimétrique dans les réglages. Le système utilise des mécanismes métalliques robustes, pas du plastique fragile. Chaque ajustement se fait en douceur, avec des crans bien définis. Impossible de se retrouver avec un accoudoir qui s’affaisse au bout de quelques mois !
Pourquoi est-ce si bien ?
Parce que grâce à ça, c’est la chaise qui va s’adapter à vous. Plus l’inverse ! Elle vous permet de :
Il y a bien une chose que je ne peux pas reprocher aux fauteuils gaming Razer, c’est leur design iconique et inégalable. Dès qu’on pose les yeux dessus, on reconnaît immédiatement la patte Razer. Cette identité visuelle si particulière fait qu’on ne peut pas confondre leurs produits avec ceux de la concurrence. Les lignes angulaires, les coutures contrastées, cette allure de cockpit de vaisseau spatial… Même dans l’obscurité d’une pièce gaming, cette silhouette est reconnaissable entre mille. J’ai testé pas mal de chaises gaming ces dernières années. Aucune n’a cette prestance immédiate.
C’est d’ailleurs quelque chose qui se répand dans tous les produits Razer. Que ce soit leurs claviers mécaniques avec leurs touches low-profile. Leurs souris ultra-précises aux capteurs de 30 000 DPI. Leurs casques gaming avec cette mousse à mémoire de forme si confortable. Ou même leurs laptops Blade aux châssis en aluminium usiné CNC. Ils ont vraiment réussi à créer un univers esthétique cohérent à travers toute leur gamme. Chaque produit raconte la même histoire visuelle. Les mêmes codes design se retrouvent partout. C’est du grand art en termes de cohérence de marque.
Je ne pense pas avoir déjà vu un objet Razer qui ne soit pas extrêmement esthétique. Même leurs produits d’entrée de gamme ont ce petit quelque chose en plus au niveau du design. Ils ne font jamais dans le cheap ou le plastique bas de gamme. Leurs finitions sont toujours soignées, même sur une souris à 40 euros. Les matériaux respirent la qualité au toucher. Les assemblages sont millimétrés. Ça distingue vraiment leurs créations du lot, même face à des concurrents bien établis comme Corsair ou SteelSeries.
Le truc excellent, c’est que le “vert” Razer – ce fameux vert fluo si caractéristique de la marque – s’intègre parfaitement dans n’importe quel setup gaming. Que vous ayez une config RGB multicolore façon arc-en-ciel. Ou un setup plus sobre dans les tons noir et blanc. Cette teinte devient rapidement addictive, je vous préviens. On finit par la chercher partout dans son environnement gaming. Moi, j’en suis arrivé à choisir mes périphériques en fonction de ce vert. C’est vous dire à quel point leur identité visuelle marque les esprits.
Le revêtement utilisé par Razer pour la Iskur est un revêtement de qualité supérieure. Il est plus résistant et plus durable qu’un cuir PU standard. Vous savez, ce fameux simili qu’on retrouve sur la plupart des chaises gaming d’entrée de gamme. La différence se sent dès les premiers jours d’utilisation. Au toucher, c’est plus souple et moins plastique. La texture est également plus fine et plus agréable sous la peau.
Ça signifie en clair qu’il résistera bien dans le temps. Il ne se craquèlera pas au niveau des zones de friction. Les accoudoirs, l’assise, le dossier… toutes ces zones critiques restent intactes. Vous voyez certains sièges qui finissent avec des morceaux de simili qui se barrent ? Avec du blanc partout après seulement 1 ou 2 ans d’utilisation ? C’est exactement ce qu’on évite ici. Les coutures restent nettes, même après des sessions marathon. J’ai testé ça pendant des mois de gaming intensif. Aucune trace d’usure prématurée.
Heureusement avec Razer c’est de la qualité et ça n’arrivera pas ! D’ailleurs, ils garantissent ce revêtement sur 3 ans. Ce qui montre leur confiance dans le matériau. Peu de marques osent s’engager aussi longtemps sur cette partie spécifique. La plupart se contentent d’une garantie générale d’un an. C’est un vrai gage de sérieux. Et croyez-moi, c’est rassurant quand on investit dans du matériel gaming.
Ensuite, le cuir synthétique, je trouve ça pratique pour les gamers. Surtout ceux qui ont tendance à manger ou boire en étant au bureau. Soyons honnêtes, on le fait tous de temps en temps ! Une miette qui tombe, un peu de café qui déborde… Ça arrive même aux plus précautionneux d’entre nous. Contrairement au tissu qui absorbe tout, le cuir synthétique fait barrière. Les liquides perlent à la surface au lieu de s’infiltrer dans les fibres.
Puisque l’avantage du cuir synthétique, c’est qu’il est très facile à laver. Un coup de chiffon humide suffit généralement. Pas besoin de produits spéciaux ou de techniques compliquées. En 30 secondes, votre siège retrouve son aspect d’origine. Même les taches plus tenaces partent avec un peu de savon doux. Fini les galères de nettoyage qu’on peut avoir avec d’autres matériaux ! C’est un gain de temps énorme au quotidien.
Là vous êtes sur du très très bon ! C’est rare d’avoir un repose-tête à mémoire de forme sur ce segment. La mousse à mémoire de forme coûte effectivement cher à produire. On parle d’un coût de fabrication 3 à 4 fois supérieur à une mousse polyuréthane classique. On la retrouve généralement sur des chaises à plus de 400€, voire 500€. Donc c’est un vrai plus sur ce segment de prix, croyez-moi.
Je suis donc ravi de voir que sur la Iskur, il y a le même système que sur la Enki. C’est-à-dire un repose-tête à mémoire de forme de qualité ! Razer a vraiment fait le choix de ne pas rogner sur cette partie. Contrairement à certains concurrents qui utilisent de la mousse classique pour réduire les coûts. Ou pire, de la mousse bas de gamme qui s’affaisse au bout de 6 mois. J’ai testé des chaises où le coussin perdait 50% de son épaisseur en moins d’un an. Autant dire que le confort n’était plus au rendez-vous !
C’est top pour prendre soin de votre corps et augmenter votre confort. Surtout si vous passez de longues heures devant votre écran. Que ce soit pour le gaming, le télétravail ou le streaming. Votre nuque vous dira merci ! Et croyez-moi, après des sessions de 8-10h, la différence se ressent vraiment.
La mousse à mémoire de forme va mieux répartir les différents points de pression. Ce qui va considérablement augmenter votre confort et vous soulager. Concrètement, au lieu d’avoir des zones de tension concentrées sur votre nuque, le poids de votre tête se répartit uniformément. Et ça, sur toute la surface du coussin, pas juste sur 2-3 points comme avec une mousse classique. C’est le principe de la déformation thermosensible : la mousse réagit à la chaleur de votre corps. Elle épouse parfaitement vos cervicales en quelques minutes.
Ensuite, la mousse à mémoire de forme va améliorer la circulation de votre sang. Elle évite les compressions localisées qui créent ces sensations d’engourdissement. Vous savez, cette sensation désagréable quand votre nuque “tire” après 2h de jeu ? Le top, c’est que ça s’adapte parfaitement à vos formes et à votre morphologie. Vous sentez vraiment la différence après 2-3 heures d’utilisation. Comparé à un coussin classique qui devient vite inconfortable et vous oblige à bouger sans arrêt. Fini les micro-ajustements permanents pour trouver la bonne position !
J’aime beaucoup Razer également, parce qu’ils ont cet aspect “luxe” très bien travaillé. Ils apportent énormément d’attention à la confection de leurs sièges et de leurs finitions. C’est vraiment du haut de gamme dans l’univers gaming ! Quand vous déballez une chaise Razer, ça se sent immédiatement dès l’ouverture du carton. L’emballage est soigné, avec des couches de protection multiples. Chaque élément est protégé individuellement. Les matériaux respirent littéralement la qualité au toucher. Même les petits détails comme les étiquettes métallisées ou les housses de protection individuelles montrent qu’on n’est clairement pas sur du bas de gamme. Les vis sont même emballées dans des sachets séparés avec des étiquettes claires. C’est cette attention aux détails qui fait toute la différence avec la concurrence. On sent qu’ils ne lésinent pas sur les moyens.
Les coutures sont superbes, solides, larges, et parfaitement régulières – du pur Razer quoi ! J’ai particulièrement apprécié le travail minutieux sur les surpiqûres qui suivent parfaitement les contours du siège. Elles font environ 3-4mm de large et gardent un espacement constant. C’est le genre de détail qu’on remarque immédiatement quand on passe ses mains dessus. Aucun fil qui dépasse, aucune irrégularité visible. Le simili cuir utilisé a une texture vraiment agréable au contact. Il a ce grain légèrement grainé qui rappelle le cuir véritable. Il n’a pas cet aspect plastique cheap qu’on trouve sur certaines chaises gaming d’entrée de gamme. Au toucher, on sent que c’est épais et résistant.
Les roulettes de la Razer Iskur sont solides et bien conçues. Elles utilisent un système à double roulement qui garantit une glisse fluide. C’est du matériel de qualité, pas du plastique bas de gamme qu’on trouve sur certaines chaises d’entrée de gamme. Sur parquet, carrelage ou lino, c’est du tout bon ! Elles roulent avec une fluidité remarquable, même après des mois d’utilisation intensive. J’ai testé sur du parquet stratifié et du carrelage : zéro accroc, zéro rayure.
Par contre, je vous préviens : sur les tapis épais (plus de 2-3 cm), elles galèrent un peu. Elles ont tendance à s’enfoncer légèrement et la résistance se fait sentir. C’est physique : le poids de la chaise (environ 35 kg) combiné à votre poids fait que ça s’enfonce. Sur moquette fine, ça passe sans problème. Le revêtement en polyuréthane aide pas mal pour ça. Cette matière offre une meilleure adhérence que le plastique dur classique.
Sinon pour moi, le plus important c’est qu’elles ne retiennent pas trop la poussière et les cheveux. Croyez-moi, après avoir eu des roulettes qui ressemblaient à des pelotes de laine au bout de quelques semaines… C’était l’horreur à nettoyer ! Là, un petit coup d’aspirateur de temps en temps suffit amplement. Les rainures sont bien pensées pour éviter l’accumulation de saletés. Razer a vraiment réfléchi à l’aspect pratique sur le long terme.
Là c’est un peu plus basique, et je vais devoir vous l’expliquer de plusieurs façons pour que vous compreniez bien les enjeux. C’est important de saisir la nuance entre ces deux angles. Parce que chaque degré compte vraiment quand on parle de confort sur le long terme.
D’une part c’est bien parce que 130° c’est l’une des meilleures inclinaisons pour un fauteuil gaming. C’est ce qui est le plus relaxant et préserve le plus les vertèbres d’après une étude sur Researchgate. Cette angulation permet en fait de réduire la pression sur les disques intervertébraux de 40% par rapport à une position droite. Elle maintient aussi une posture naturelle de la colonne – c’est du solide scientifiquement parlant. Les kinésithérapeutes recommandent d’ailleurs souvent cet angle pour les longues sessions. J’ai testé personnellement et c’est vrai que la différence se ressent après 3-4h de jeu.
D’autre part, 139°, bien que ça vous permettra de trouver facilement une position assise… Cette inclinaison vous laisse beaucoup de liberté pour ajuster votre posture selon vos préférences du moment. Vous pouvez basculer entre travail concentré et détente sans forcer. C’est pratique au quotidien, je vous l’accorde. Surtout si vous alternez entre gaming intense et navigation web décontractée. Cette flexibilité devient vraiment appréciable quand vous passez 8h par jour sur votre setup.
Eh bien… Ça n’est cependant pas le top du top niveau amplitude. Il y a plein de chaises qui vont jusqu’à une inclinaison de 180°. Ça correspond à une position entièrement allongée, parfaite pour les pauses entre deux parties. Je pense notamment aux modèles haut de gamme de SecretLab ou même certaines chaises de bureau premium comme les Herman Miller gaming. Là vous pouvez vraiment faire une sieste réparatrice ! Et croyez-moi, après une session marathon sur un RPG, c’est exactement ce dont vous avez besoin. Ces 41° supplémentaires font toute la différence pour la récupération.
La hauteur de chaque accoudoir peut se régler via un bouton qui ressort à l’extérieur de chacun des accoudoirs. Le mécanisme est vraiment bien pensé : une simple pression et l’accoudoir glisse en douceur. Vous sentez immédiatement la fluidité du mouvement, sans à-coups ni résistance. Vous avez environ 10 cm de course pour trouver votre position idéale. C’est vraiment pratique, vous appuyez dessus et vous ajustez la hauteur selon vos besoins. Le système maintient parfaitement la position choisie, même après des heures d’utilisation intensive. Personnellement, j’aime bien les avoir à la même hauteur que mon bureau pour éviter les tensions dans les épaules. Cette configuration permet de garder les avant-bras parfaitement horizontaux. Croyez-moi, après quelques heures de gaming, cette petite attention fait toute la différence ! Vos épaules vous remercieront, surtout pendant les longues sessions de jeu.
La largeur se règle avec le bouton interne présent dans chaque accoudoir. Il faut juste glisser votre main sous l’accoudoir pour le trouver. Le bouton est facilement accessible, même en position assise. Là aussi, c’est assez intuitif : vous pressez le bouton et vous écartez ou rapprochez les accoudoirs selon votre morphologie. Le mouvement est fluide et précis, sans jeu ni instabilité. Le système offre une amplitude de réglage de 6 cm environ de chaque côté. Cela représente 12 cm d’amplitude totale, ce qui couvre vraiment tous les gabarits. Si vous avez les épaules larges comme moi, vous apprécierez de pouvoir les écarter suffisamment. Fini la sensation d’être à l’étroit ! Et pour les gabarits plus fins, pas de souci non plus : ils se rapprochent assez pour ne pas vous laisser les bras dans le vide. Chaque position se verrouille solidement une fois relâchée.
Pas besoin d’être bob le bricoleur ou un artiste du montage de siège gaming pour s’en sortir avec cette chaise. Razer a vraiment pensé à tout pour simplifier la vie. Même les moins bricoleurs d’entre vous vont être surpris.
Il ne vous faudra pas plus de 20 minutes pour monter la Razer Iskur. Et ça, c’est en prenant votre temps et en comptant le déballage ! J’ai chronométré lors de mon test : 18 minutes exactement, pauses café comprises. Le manuel d’instructions est clair, avec des schémas bien détaillés. Chaque vis et chaque pièce sont numérotées logiquement. Pas de hiéroglyphes incompréhensibles comme on voit parfois. Les étapes sont découpées en 6 phases distinctes, chacune illustrée par des dessins précis.
Même si vous n’avez jamais monté de meuble IKEA de votre vie, vous devriez vous en sortir sans problème. Les pièces s’emboîtent naturellement. Le système de fixation est vraiment bien pensé. Pas de mauvaises surprises avec des trous mal alignés ou des vis récalcitrantes. La clé Allen fournie est de bonne qualité, contrairement à certaines marques qui vous filent des outils en plastique. Elle est même magnétique pour éviter de faire tomber les vis ! Un petit détail qui fait toute la différence quand on monte sa chaise.
De toute évidence, les avis d’autres utilisateurs sur le Razer Iskur sont florissants. Et je dois dire que ça ne m’étonne pas vraiment ! Quand on voit le nombre de retours positifs qui affluent depuis sa sortie, c’est assez révélateur.
C’est compréhensible, qui n’aurait pas eu envie d’essayer la petite première de chez Razer ? Surtout quand on connaît leur réputation dans l’univers gaming. Leur première incursion dans le monde des chaises gaming était très attendue. Et franchement, ils ont mis la barre haute dès le départ !
De façon globale, voici ce qui fait l’unanimité chez les autres utilisateurs :
La dernière Secretlab, parce qu’en plus de proposer des accoudoirs 4D ultra-précis (vous pouvez donc les ajuster dans tous les sens : hauteur, largeur, profondeur et angle), un dossier inclinable jusqu’à 165° (parfait pour vos petites siestes entre deux parties !), un mécanisme de bascule décentrée qui suit naturellement vos mouvements sans vous faire perdre l’équilibre. Et ce soutien lombaire intégré ! Réglable à la fois en hauteur ET en volume grâce à une molette intuitive placée sur le côté droit de l’assise. Ce double réglage fait toute la différence pour votre dos, croyez-moi. Vous pouvez ajuster la courbure exactement selon votre morphologie. Fini les douleurs après 6 heures de gaming intensif ! J’ai testé des dizaines de chaises, et ce niveau de personnalisation reste rare à ce prix. Même les Herman Miller à 1500€ n’offrent pas cette flexibilité sur le lombaire. Le revêtement en similicuir NEO Hybrid résiste parfaitement aux griffures et se nettoie d’un simple coup d’éponge. Après 8 mois d’utilisation quotidienne, aucune trace d’usure visible. La Secretlab est proposée à un tarif
Ensuite, les modèles Quersus Vaos/Evos/Geos que j’ai comparés pendant plusieurs semaines. Ces chaises proposent aussi des accoudoirs 4D avec une amplitude de réglage vraiment correcte. Vous pouvez ajuster la hauteur sur environ 7 cm. La largeur se module facilement pour s’adapter à votre carrure. La profondeur et l’angle se règlent sans problème grâce à des molettes bien pensées. Le mécanisme de bascule reste de qualité, bien que légèrement moins fluide que celui de la Razer. J’ai remarqué une petite résistance lors des transitions entre positions. Rien de rédhibitoire, mais on sent la différence quand on passe de l’une à l’autre. Le dossier s’incline jusqu’à 140°, ce qui reste dans la moyenne haute du marché. C’est suffisant pour une sieste gaming entre deux sessions ! J’ai testé personnellement cette position pendant mes pauses entre les sessions de Cyberpunk.
Les Quersus ont également quelques défauts comparés à la Razer Iskur. Par exemple, les appuie-tête présents ne sont pas réglables en hauteur. C’est vraiment dommage car selon votre morphologie, vous pourriez vous retrouver avec un support cervical mal positionné. Si vous mesurez moins d’1m70 ou plus d’1m85, le positionnement risque d’être problématique. Après plusieurs heures de jeu, ça peut créer des tensions désagréables au niveau de la nuque. J’en ai fait l’expérience lors d’une session marathon de 6 heures. Les courbatures étaient bien présentes le lendemain !
Et.. Comment ne pas mettre la Razer Enki ?!
Les accoudoirs de la Enki sont également en 4D comme sur l’Iskur. Vous pouvez les ajuster en hauteur, largeur, profondeur et angle. Ils sont robustes et gardent leur position même après des ajustements répétés. L’inclinaison en revanche est un peu plus permissive. Elle va jusqu’à 152° contre 139° pour l’Iskur. Ce qui vous permet vraiment de vous allonger pour une petite sieste entre deux parties ! Croyez-moi, ces 13° de différence se ressentent vraiment. J’ai testé les deux côte à côte et c’est flagrant.
Les deux possèdent un coussin à mémoire de forme au niveau de l’assise. La mousse haute densité épouse parfaitement vos formes après quelques minutes. C’est cette technologie qui fait que vous ne sentez plus les points de pression. En revanche, la Enki a un mécanisme de bascule décentré. C’est bien mieux pour l’équilibre et le confort. Le point de pivot se situe plus près de vos genoux, comme sur les fauteuils de bureau haut de gamme. Vous basculez naturellement sans effort. MAIS pas de soutien lombaire intégré. C’est vraiment dommage car votre dos n’a aucun support dans la zone critique des vertèbres lombaires. Contrairement à l’Iskur qui a son coussin magnétique ajustable. Après 3-4h de session, vous allez le sentir passer. Surtout si vous avez déjà des problèmes de dos.
Si vous m’avez lu jusqu’ici, j’imagine que vous avez réalisé à quel point choisir une chaise gaming n’est pas si facile qu’il n’y paraît. Entre les différents mécanismes de réglage, les types de mousse, les matériaux de revêtement et les gabarits supportés, il y a vraiment de quoi s’y perdre. Surtout quand on n’est pas familier avec ce marché qui évolue constamment. Les fabricants ne nous facilitent pas la tâche avec leurs dizaines de références et leurs termes techniques parfois obscurs. Mécanisme papillon, mousse à mémoire de forme haute densité, revêtement PU premium… C’est vrai que ça peut vite devenir confus ! Et je ne vous parle même pas des certifications ergonomiques qui varient d’une marque à l’autre.
Et également à quel point choisir la bonne peut fortement influer sur votre confort. D’autant plus quand vous passez de longues heures à jouer, que ce soit en session marathon le week-end ou en gaming quotidien après le boulot. Je vous le dis franchement : une mauvaise chaise, c’est des douleurs lombaires assurées. Mais aussi des tensions dans les cervicales, une mauvaise circulation sanguine dans les jambes. Sans compter l’impact sur vos performances de jeu quand vous commencez à vous tortiller sur votre siège au bout de deux heures. J’en ai fait l’expérience avec ma première chaise “gaming” à 80€. Après trois heures de jeu, j’avais l’impression d’avoir fait du sport ! Et pas dans le bon sens du terme. Votre concentration s’effrite, vos réflexes diminuent. Difficile de viser juste quand votre dos vous lance.
Thomas est le créateur/éditeur de ce site. Gamer très passionné depuis sa petite enfance, sa mission est de vous aider à bien choisir une partie importante de votre set-up : la chaise gamer.
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